Chaque semaine, Virgil fait rêver son père Ernest en lui racontant ses exploits de boxeur le temps d'un parloir. Chaque semaine, Virgil vient rêver en croisant le regard de Margot, une jeune femme elle aussi en visite. Cette semaine, Ernest lui annonce qu'il va sortir et qu'il va enfin pouvoir revoir Virgil sur un ring. Un seul problème : Virgil ne boxe plus depuis trois ans...
Virgil, dont l'auteur est si jeune, ressuscite (...) l'argot d'antan. Et certes la boxe est un moyen pratique de raccorder les générations (mais) el-Mechri s'en soucie peu, seul importe l'horizon de réconciliation de réconciliation au bout de tout ça. Cahiers du Cinéma
Dénuée de pathos, loin des clichés, la manière dont Mabrouk El Mechri approche cette nébuleuse sociale de restaurants de kebabs et de petits clubs sans éclats respire la sincérité. Le Monde
Du premier long métrage de Mabrouk el-Mechri se dégage (...) un contraste : une fougue servie par des idées originales et des acteurs justes, battue par l'intention parfois candide de faire l'éloge de l'amour. Libération
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